Semaine du rein 2021 de l’American Society of Nephrology (ASN) :

De nouvelles analyses du vaste programme d’essais cliniques sur la finérénone confirment que celle-ci produit des bienfaits rénaux et cardiovasculaires chez les patients atteints de NPC et de DT2, indépendamment du traitement de base

  • Une analyse exploratoire de l’étude FIGARO-DKD sur la finérénone, un antagoniste non stéroïdien sélectif des récepteurs minéralocorticoïdes, a montré qu’il y avait eu une réduction de la fréquence des événements rénaux chez les patients atteints de néphropathie chronique (NPC) et de diabète de type 2 (DT2), comme dans l’étude FIDELIO-DKD. 
  • Les résultats de l’analyse groupée prédéfinie FIDELITY portant sur plus de 13 000 sujets des études de phase III FIGARO-DKD2 et FIDELIO-DKD1 font ressortir le bienfait potentiel de la finérénone sur l’ensemble du spectre de la maladie, indépendamment du traitement concomitant par les inhibiteurs du SGLT2, chez les patients atteints de NPC et de DT2. 

Mississauga (ON), 10 novembre 2021 – De nouvelles analyses des données issues du vaste programme d’essais cliniques sur la finérénone, qui comprend les études cliniques de phase III FIGARO-DKD2 et FIDELIO-DKD1, et l’analyse groupée prédéfinie FIDELITY3 confirment les bienfaits rénaux et cardiovasculaires (CV) de la finérénone, premier antagoniste non stéroïdien sélectif des récepteurs minéralocorticoïdes (RM)1, chez les patients atteints de néphropathie chronique (NPC) et de diabète de type 2 (DT2). Les données de ces analyses ont été présentées dans le cadre de la Semaine du rein 2021 de l’American Society of Nephrology (ASN).


Une nouvelle analyse des données de l’étude FIGARO-DKD révèle que chez les patients présentant une NPC aux stades 1 à 4 chez qui l’albuminurie était modérément ou très élevée, la finérénone était associée à une tendance à la baisse de la fréquence des événements rénaux composites qui correspondait en général au bienfait observé dans l’étude FIDELIO-DKD. La finérénone a aussi été associée à une réduction de 36 % de l’incidence de l’insuffisance rénale au stade terminal (IRST). Une IRST est survenue chez 0,9 % des patients recevant la finérénone et chez 1,3 % de ceux recevant le placebo (RR = 0,64; IC de 95 % de 0,41 à 0,995; valeur p nominale = 0,046)2


Cette analyse fait suite à la présentation des résultats détaillés de l’étude FIGARO-DKD en septembre dans le cadre du congrès 2021 de la SEC et à leur publication simultanée dans le New England Journal of Medicine. Ces résultats avaient confirmé les bienfaits cardiovasculaires de la finérénone mis en évidence par l’étude FIDELIO-DKD menée auprès de patients atteints de NPC et de diabète de type 2 (DT2) à divers degrés de gravité de la maladie, soit des patients aux stades 1 à 4 de la NPC atteints de DT2.


« Il faut faire davantage pour ralentir la progression de la néphropathie chronique (NPC) attribuable au diabète de type 2 (DT2). C’est la cause la plus courante d’insuffisance rénale au stade terminal (IRST) dans le monde »4,5, a déclaré le professeur George L. Bakris, M.D., Département de médecine, American Heart Association Comprehensive Hypertension Center, University of Chicago Medicine, É.-U., et chercheur principal de l’essai FIDELIO-DKD. « Les résultats des études FIDELIO-DKD et FIGARO-DKD présentés à l’assemblée de l’ASN, et en particulier ceux de l’analyse groupée prédéfinie FIDELITY de ces études, démontrent clairement le potentiel d’amélioration du devenir des patients atteints de NPC offert par la détection en temps utile et la surveillance des tout premiers signes de NPC, et démontrent que la finérénone est un traitement efficace pour l’amélioration des résultats cardiovasculaires et rénaux chez un large éventail de patients, y compris ceux qui présentent des lésions rénales précoces ou une néphropathie chronique à un stade plus avancé et un diabète de type 2. »1,2 


Les résultats de la méta-analyse prédéfinie FIDELITY ayant porté sur plus de 13 000 patients des études de phase III FIGARO-DKD2 et FIDELIO-DKD1 ont aussi mis en évidence les bienfaits rénaux et CV de la finérénone, quelle que soit la gravité de la NPC chez les patients atteints de DT23. Ces résultats montrent que la finérénone a systématiquement réduit le risque de l’événement composite rénal (délai de survenue de l’insuffisance rénale, réduction soutenue d’au moins 57 % par rapport au départ du TFGe ou décès d’origine rénale) de 23 % (RR = 0,77; IC de 95 % de 0,67 à 0,88; p = 0,0002) et le risque d’IRST de 20 % (RR = 0,80; IC de 95 % de 0,64 à 0,99; p = 0,040)3. L’innocuité globale a aussi été semblable dans le groupe traité par la finérénone et le groupe placebo, les groupes ayant été bien équilibrés pour ce qui est des effets indésirables (EI) rénaux. Comme on s’y attendait, on a observé avec la finérénone une augmentation de la fréquence des EI liés à l’hyperkaliémie, mais peu de patients ont abandonné le traitement en raison de ces EI3.


Des données supplémentaires issues de l’analyse groupée prédéfinie FIDELITY ont montré qu’indépendamment de l’utilisation d’un inhibiteur du SGLT2 au départ, la finérénone avait produit des bienfaits rénaux et CV systématiques par rapport au placebo et réduit le rapport albuminurie-créatininurie (RACU) chez les patients atteints de NPC et de DT2 (32 % et 37%, respectivement)3
Selon l’analyse groupée prédéfinie FIDELITY, chez les patients qui étaient traités par un inhibiteur du SGLT2 au départ, le TFGe moyen était plus élevé, le RACU était plus faible et l’utilisation d’une statine et d’un agoniste du récepteur du peptide-1 de type glucagon (GLP-1RA) était plus élevée. La nouvelle analyse a révélé que la finérénone produisait des bienfaits rénaux et CV systématiques par rapport au placebo et améliorait le RACU chez les patients atteints de NPC et de DT2, indépendamment de l’utilisation d’un inhibiteur du SGLT2 au départ3


« Les essais FIGARO et FIDELIO ont porté sur les événements cardiorénaux chez les personnes atteintes de diabète et d’une néphropathie du stade précoce au stade avancé. Ayant participé aux deux études à titre d’investigateur, j’ai trouvé très satisfaisant de voir à quel point la finérénone avait réduit le risque d’événements cardiovasculaires et la progression de la néphropathie dans ce large éventail de patients, a déclaré le Dr Phil McFarlane, investigateur clinique à la Division de néphrologie de l’hôpital St. Michael’s de Toronto. En tant que néphrologue, j’ai été particulièrement enchanté du taux de réduction de l’insuffisance rénale au stade ultime observé dans l’étude FIGARO, qui a récemment été présentée. Ces études marquent l’avènement des antagonistes des RM de nouvelle génération et jouent un rôle important dans le développement de nouvelles options thérapeutiques pour la protection du cœur et des reins chez les personnes atteintes de diabète. »

 

En juillet, la finérénone a été approuvée sous la marque de commerce Kerendia® par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis sur la foi des résultats positifs de l’étude de phase III FIDELIO-DKD. La finérénone a aussi fait l’objet de demandes d’autorisation de mise sur le marché au Canada, en Union européenne, en Chine et dans de nombreux autres pays, et ces demandes sont actuellement à l’étude. Au Canada, la mise sur le marché de la finérénone n’a pas encore été autorisée.

 

À propos de la finérénone
La finérénone (BAY 94-8862) est un antagoniste non stéroïdien sélectif des récepteurs minéralocorticoïdes (RM) qui, au cours des études précliniques, a inhibé les effets nocifs associés à la suractivation des RM1. Chez les patients atteints de DT2, on pense que la suractivation des RM contribue à la progression de la NPC et à l’apparition de lésions cardiovasculaires, lesquelles peuvent être tributaires de facteurs métaboliques, hémodynamiques, inflammatoires ou fibrotiques1,4,8,9,10. Le programme d’études de phase III sur la finérénone, FINEOVATE, comporte actuellement les quatre études suivantes : FIDELIO-DKD1, FIGARO-DKD2, FINEARTS-HF11 et FIND-CKD12.

 

Le programme d’études de phase III sur le traitement de la NPC et du DT2 par la finérénone, dans le cadre duquel plus de 13 000 patients atteints de NPC et de DT2 de partout dans le monde, y compris au Canada, ont été randomisés, comprend deux études comparant la finérénone à un placebo, administrés en association au traitement standard, du point de vue de l’effet sur les événements tant rénaux que cardiovasculaires13. L’étude FIDELIO-DKD (FInerenone in reducing kiDnEy faiLure and dIsease prOgression in Diabetic Kidney Disease) a comparé la finérénone à un placebo, administrés en association au traitement standard, des points de vue de l’efficacité et de l’innocuité pour la réduction de l’insuffisance rénale et de la progression de la néphropathie chez environ 5 700 patients atteints de NPC et de DT21,14. L’étude FIGARO-DKD (FInerenone in reducinG cArdiovascular moRtality and mOrbidity in Diabetic Kidney Disease) a comparé la finérénone à un placebo, administrés en association au traitement standard, des points de vue de l’efficacité et de l’innocuité pour la réduction de la morbidité et de la mortalité cardiovasculaires chez quelque 7 400 patients atteints de NPC et de DT2. 

 

En septembre 2021, Bayer a annoncé la mise en route de l’étude FIND-CKD, une étude de phase III multicentrique, contrôlée par placebo, randomisée et à double insu sur le traitement par la finérénone des patients atteints de NPC non diabétique. L’étude FIND-CKD portera sur l’efficacité et l’innocuité de la finérénone, en association au traitement recommandé par les lignes directrices, pour la progression de la NPC chez plus de 1 500 patients présentant une NPC de cause non diabétique, dont l’hypertension et la glomérulonéphrite chronique (inflammation des reins). Le critère d’évaluation principal est le taux moyen de détérioration de la fonction rénale dans le temps (courbe du taux de filtration glomérulaire estimé [TFGe]) du départ au 32e mois. 

 

En juin 2020, Bayer a annoncé la mise en route de l’étude de phase III multicentrique, randomisée, contrôlée par placebo et à double insu FINEARTS-HF, qui comparera la finérénone à un placebo chez plus de 5 500 patients atteints d’insuffisance cardiaque symptomatique (classes II à IV de la New York Heart Association) à fraction d’éjection ventriculaire gauche préservée, soit ≥ 40 %. Le principal objectif de cette étude est de démontrer la supériorité de la finérénone sur le placebo pour réduire la fréquence des événements du critère d’évaluation composite comprenant le décès d’origine cardiovasculaire et toute insuffisance cardiaque (IC; première occurrence et récurrence), définie comme une hospitalisation ou une visite à l’urgence en raison d’une IC.

 

En juillet, la finérénone a été approuvée sous la marque de commerce Kerendia® par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis sur la foi des résultats positifs de l’étude de phase III FIDELIO-DKD. La finérénone a aussi fait l’objet de demandes d’autorisation de mise sur le marché au Canada, en Union européenne, en Chine et dans de nombreux autres pays, et ces demandes sont actuellement à l’étude.

 

À propos de la néphropathie chronique chez les patients atteints de diabète de type 2
La néphropathie chronique (NPC) est une maladie potentiellement mortelle qui est généralement sous-diagnostiquée17. La NPC est l’une des complications les plus courantes du diabète, et est aussi un facteur de risque indépendant de maladies cardiovasculaires5. Jusqu’à 40 % de tous les patients atteints de diabète de type 2 (DT2) présentent une NPC4,5,18. Malgré les traitements prescrits par les lignes directrices, les patients atteints de NPC et de DT2 demeurent exposés à un risque élevé de progression de la NPC et d’événements cardiovasculaires4,6,7. On estime que la NPC touche plus de 160 millions de personnes atteintes de DT2 dans le monde19,20,21. Chez les patients atteints de DT2, c’est la principale cause d’insuffisance rénale au stade terminal5, en présence de laquelle les patients doivent être dialysés ou recevoir une greffe rénale pour rester en vie22. Les patients atteints de NPC et de DT2 sont trois fois plus susceptibles de mourir d’un trouble cardiovasculaire que les patients atteints uniquement de DT223.

 

À propos de l’engagement de Bayer dans le domaine des maladies cardiovasculaires et rénales
Bayer est un chef de file de l’innovation dans le domaine des maladies cardiovasculaires, et s’emploie de longue date à faire des découvertes scientifiques qui améliorent la vie, en élargissant l’éventail de ses traitements novateurs. Le cœur et les reins sont étroitement liés, tant dans la santé que dans la maladie, et Bayer travaille dans un vaste éventail de domaines thérapeutiques, à la recherche de nouvelles stratégies de traitement pour prendre en charge les maladies rénales et cardiovasculaires dans lesquelles les besoins médicaux à satisfaire sont importants. La gamme de produits de cardiologie de Bayer comprend une série de produits et plusieurs autres composés à divers stades de développement préclinique et clinique. Ensemble, ces produits sont le reflet de l’approche de recherche de l’entreprise, qui met l’accent sur les cibles et les voies susceptibles de modifier la façon dont les maladies cardiovasculaires sont traitées.

 

À propos de Bayer
Bayer est une société internationale dont les principales activités sont concentrées dans les sciences de la vie, soit les soins de santé et la nutrition. Ses produits et services visent à contribuer à l’épanouissement des gens et de la planète tout en soutenant les efforts déployés pour surmonter les défis de taille que présentent la croissance et le vieillissement de la population mondiale. Bayer souscrit au principe de développement durable et de retombées positives de ses activités. En même temps, le groupe vise à accroître sa capacité bénéficiaire et à apporter de la valeur grâce à l’innovation et à l’expansion. La marque Bayer est reconnue partout dans le monde pour la fiabilité et la qualité de ses produits. Lors de l’exercice financier de 2020, le groupe comptait environ 100 000 employés et a réalisé des ventes de 41,4 milliards d’euros. Les dépenses en recherche et développement, avant effets exceptionnels, ont été de 4,9 milliards d’euros. Pour de plus amples renseignements, visitez le site www.bayer.ca.

 

Personnes-ressources :
Bayer Inc.
Service des communications
mediacanada@bayer.com

 

Pour un complément d’information, consultez le site www.bayer.ca.

 

Énoncés prospectifs 
Ce communiqué de presse peut contenir des énoncés de nature prospective fondés sur les suppositions et les prévisions actuelles de la direction de Bayer. En raison de risques, d’incertitudes et d’autres facteurs connus et inconnus, il pourrait y avoir d’importantes différences entre les résultats, la situation financière, le développement ou le rendement à venir de l’entreprise et les prévisions que contient le présent communiqué. Ces facteurs sont notamment ceux dont il est question dans les rapports publics de Bayer publiés sur le site Web de Bayer à l’adresse suivante : www.bayer.com. L’entreprise n’assume aucune responsabilité, de quelque nature que ce soit, quant à la mise à jour de ces énoncés prospectifs ou à leur représentation exacte d’événements ou de développements futurs. 

Références :

1.    Bakris G et al. Effect of Finerenone on Chronic Kidney Disease Outcomes in Type 2 Diabetes. New England Journal of Medicine. 2020. 383, 2219-2229.
2.    Pitt B et al. Cardiovascular Events with Finerenone in Kidney Disease and Type 2 Diabetes. New England Journal of Medicine. 2021. Publication en ligne avant l’impression.
3.    FIDELITY results placeholder
4.    Alicic R Z et al. Diabetic Kidney Disease: Challenges, Progress, and Possibilities. Clinical Journal of the American Society of Nephrology. 2017. 12(12), 2032–2045.
5.    Doshi S M, et al. Diagnosis and Management of Type 2 Diabetic Kidney Disease. Clinical Journal of the American Society of Nephrology. 2017. 12(8), 1366-1373. 
6.    Anders, H J, et al. CKD in diabetes: diabetic kidney disease versus nondiabetic kidney disease. Nature Reviews Nephrology. 2018. 14, 361–377.
7.    Thomas M C, et al. Diabetic kidney disease. Nature Reviews Disease Primers. 2015. 1, 1-20.
8.    Bauersachs J, et al. Mineralocorticoid receptor activation and mineralocorticoid receptor antagonist treatment in cardiac and renal diseases. Journal of Hypertension. 2015. 65, 257-263. 
9.    Black L M, et al. Renal Inflammation and Fibrosis: A Double-edged Sword. Journal of Histochemistry and Cytochemistry. 2019. 67(9), 663-681.
10.    Kolkhof P et al. Steroidal and Novel Non-steroidal Mineralocorticoid Receptor Antagonists in Heart Failure and Cardiorenal Diseases: Comparison at Bench and Bedside. Heart Failure. Handbook of Experimental Pharmacology. 2017. 243, 271-305.
11.    ClinicalTrials.gov. Study to Evaluate the Efficacy (Effect on Disease) and Safety of Finerenone on Morbidity & Mortality in Participants with Heart Failure and Left Ventricular Ejection Fraction Greater or Equal to 40% (FINEARTS-HF). 2020. Adresse : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04435626. Dernière consultation : mars 2021.
12.    ClinicalTrials.gov. A Trial to Learn How Well Finerenone Works and How Safe it is in Adult Participants With Non-diabetic Chronic Kidney Disease (FIND-CKD). 2021. Adresse : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05047263. Dernière consultation : octobre 2021.
13.    Ruilope L M et al. Design and Baseline Characteristics of the Finerenone in Reducing Cardiovascular Mortality and Morbidity in Diabetic Kidney Disease Trial. American Journal of Nephrology. 2019. 50(5), 345-356.
14.    ClinicalTrials.gov. Efficacy and Safety of Finerenone in Subjects with Type 2 Diabetes Mellitus and Diabetic Kidney Disease (FIDELIO-DKD). 2015. Adresse : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02540993. Dernière consultation : mars 2021.
15.    ClinicalTrials.gov. Efficacy and Safety of Finerenone in Subjects with Type 2 Diabetes Mellitus and the Clinical Diagnosis of Diabetic Kidney Disease (FIGARO-DKD). 2015. Adresse : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02545049. Dernière consultation : mars 2021.
16.    KDIGO 2012 Clinical Practice Guideline for the Evaluation and Management of Chronic Kidney Disease. Kidney International. 2013. 3, 1-150.
17.    Breyer MD et al. Developing Treatments for Chronic Kidney Disease in the 21st Century. Seminars in Nephrology. 2016. 36(6), 436–447.
18.    Fédération internationale du diabète. Diabetes and Kidneys. Adresse : https://idf.org/our-activities/care-prevention/diabetes-and-the-kidney.html. Dernière consultation : mars 2021.
19.    Zheng Y, et al. Global aetiology and epidemiology of type 2 diabetes mellitus and its complications. Nature Reviews Endocrinology. 2018,14(2), 88-98. 
20.    Wu B, et al. Understanding CKD among patients with T2DM: prevalence, temporal trends, and treatment patterns-NHANES 2007-2012. BMJ Open Diabetes Research and Care. 2016. 4(1), e000154.
21.    Fédération internationale du diabète. IDF Diabetes Atlas, 9th ed. Brussels, Belgium; 2019.
22.    Kidney Fund.org. Kidney Failure. Adresse : https://www.kidneyfund.org/kidney-disease/kidney-failure/ Dernière consultation : 22 avril 2020.
23.    Afkarian M, et al. Kidney Disease and Increased Mortality Risk in Type 2 Diabetes. Journal of the American Society of Nephrology. 2013. 24(2), 302-8.